Au fil des décennies, plusieurs théories sur les avantages génétiques de la reproduction sexuée ont été avancées, mais aucune n’avait été prouvée chez l’humain, jusqu’à maintenant. Des chercheurs de l’Université de Montréal et du Centre de recherche du CHU Sainte-Justine, affilié à l’UdeM, viennent de démontrer que les prédispositions des humains à la maladie diminuent progressivement plus nous mélangeons notre matériel génétique. Cette découverte a enfin été rendue possible grâce à la mise à disposition au cours des dernières années de collections d’échantillons biologiques et de données génétiques provenant de diverses populations de la planète.