Des chercheurs du Centre de recherche du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CRCHUM) ont découvert une piste prometteuse pour améliorer les traitements offerts aux personnes atteintes de fibrose kystique.
Cette avancée, publiée récemment dans Frontiers in Cellular and Infection Microbiology, pourrait mener à la mise au point de nouvelles thérapies personnalisées dans un avenir proche.
«Le fait d’ajouter aux médicaments actuels une molécule appelée “inhibiteur de quorum sensing” réduit la production de certains résidus néfastes par les bactéries et restaure l’efficacité des traitements existants sur les cellules des patients», explique Emmanuelle Brochiero, chercheuse au CRCHUM et professeure au Département de médecine.