Devant le confinement, nous ne sommes pas tous égaux. Au-delà des inégalités sociales, démographiques ou régionales, les personnes immunosupprimées sont touchées plus durement que la population générale.
Une équipe de recherche du CRCHUM, formée de Mélanie Dieudé, professeure au Département de microbiologie, infectiologie et immunologie, et Isabelle Doré, professeure à l’École de kinésiologie et des sciences de l’activité physique, documente les conséquences de la pandémie sur leurs saines habitudes de vie et sur leur santé mentale.