Pour mieux comprendre l’influence de la diversité des populations sur le risque de souffrir de certaines maladies, Guillaume Lettre, professeur au Département de biochimie et médecine moléculaire, et son équipe ont créé un large consortium international qui regroupe plus de 700 000 participants issus de cinq grandes populations : européenne, africaine, hispanique, est-asiatique et sud-asiatique.
Dans l’une des plus grandes études du genre, ils se sont concentrés sur l’effet qu’ont les mutations génétiques sur les caractéristiques du sang, comme la concentration d’hémoglobine ou le nombre de plaquettes.