Lorsqu’une personne est infectée par le SRAS-CoV-2, sa quantité d’anticorps capables de neutraliser le virus augmente plutôt rapidement dans son organisme. Une fois qu’on est guéri, cette quantité décline.
Dans une précédente étude, les équipes du chercheur Andrés Finzi, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en entrée rétrovirale et professeur au Département de microbiologie, infectiologie et immunologie, et de la chercheuse Renée Bazin, directrice de l’innovation à Héma-Québec, avaient montré que cette capacité de neutralisation diminue après six semaines.