Une étude dirigée par Tomas Paus démontre qu’il y a un effet combiné de la génétique chez la mère et des disponibilités alimentaires sur le développement du cerveau du bébé à naître.
Une nouvelle étude populationnelle dirigée par le chercheur Tomas Paus, professeur de psychiatrie et de neurosciences à la Faculté de médecine de l’UdeM et chercheur au CHU Sainte-Justine, met en évidence les rôles respectifs des gènes maternels et fœtaux dans la croissance du cortex cérébral du bébé. Les résultats de l’équipe de recherche, publiés dans la prestigieuse revue Nature Communications, démontrent que les variants génétiques associés à un poids plus élevé à la naissance sont aussi associés à une meilleure croissance du cortex. Néanmoins, l’abondance ou le manque de nourriture semble influencer l’importance relative du rôle joué par ces gènes.
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