Chloe Tshimbalanga est atteinte d’anémie falciforme, la plus fréquente des maladies rares, qui touche presque exclusivement des personnes noires. Elle a accepté de nous en parler.
Ses parents sont porteurs du gène de l’anémie falciforme, mais Chloe Tshimbalanga est la seule de sa famille à être atteinte de la maladie. «Même ma sœur et mon frère ne l’ont pas», s’étonne la jeune femme de 20 ans.
Pour Chloe Tshimbalanga, vivre avec l’anémie falciforme a toujours été difficile, surtout lorsqu’elle était enfant. «Souvent, j’avais de la douleur, je saignais du nez et je devais aller à l’hôpital Sainte-Justine», raconte celle qui est suivie au CHUM depuis sa majorité.
Heureusement, depuis deux ans, elle prend quotidiennement de l’hydroxyurée, un médicament préventif qui a amélioré sa qualité de vie. «Ça soulage vraiment la douleur et je fais beaucoup moins de crises», se réjouit-elle. Tous les six mois, elle doit tout de même consulter la Dre Stéphanie Forté, hématologue au CHUM et professeure adjointe au Département de médecine de l’Université de Montréal.
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