L’approche inédite de l’hypoxie à long terme employée par l’équipe d’Étienne Gagnon permet l’identification d’un nouveau marqueur potentiel pour les cancers ovariens.
Dans une nouvelle étude, l’équipe d’Étienne Gagnon, professeur sous octroi agrégé au Département de microbiologie, infectiologie et immunologie de la Faculté de médecine de l’UdeM et directeur de l’Unité de recherche en immunobiologie du cancer de l’IRIC, a développé un protocole de culture cellulaire reproduisant fidèlement les conditions caractéristiques des tumeurs primaires. Le groupe a également identifié une nouvelle forme de la protéine WT1 associée à une faible survie à long terme pour les personnes atteintes de cancers de l’ovaire. Parue dans le journal Cancer Gene Therapy, l’étude a été menée par le doctorant Jordan Quenneville.
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